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Traqués par la police, les cyberescrocs s'adonnent au proxénétisme

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Décidément que ne feront pas les brouteurs Rechercher brouteurs pour de l’argent. Traqués ces derniers temps par la police Rechercherpolice , les brouteurs Rechercherbrouteurs s’adonnent aux proxénétisme et livrent les filles de la Génération Pressée-Pressée (GPP RechercherGPP) aux Libanais moyennant de fortes sommes d’argent comme constaté par KOACI.COM.

Tout commence le dimanche soir quand nous nous rendons à la rue des princes (Yopougon RechercherYopougon.html' class='infobulle'>Yopougon RechercherYopougon RechercherYopougon RechercherYopougon) , réputée pour être le lieu de prédilection de la Génération pressée-pressée. ‘’GPP RechercherGPP’’ n’est autre que, une horde de jeunes filles dont l’âge varie entre 13 et 15 ans.

Pour ces filles pas question d’attendre 18 ans pour goûter au plaisir sexuel, car selon elle la vie est très courte et avec la pauvreté de leurs parents elles ne peuvent que compter sur leur sexe pour sortir de la misère, comme nous ont expliqué certaines.

Malheureusement ces gamines sont actuellement avec la complicité des brouteurs Rechercherbrouteurs proxénètes, les proies faciles des Libanais vivants dans le quartier des affaires au Plateau RechercherPlateau dans le district d’Abidjan, comme nous a témoigné un cybercriminel.

Ces bandits qui nous révèlent avoir de nombreux soucis dans leurs activités de cybercriminels, à cause de la police Rechercherpolice en charge de la lutte contre la cybercriminalité qui les traque à longueur de journée. , et n’ayant pas d’autres choix pour se faire de l’argent, ont opté pour le métier de proxénète où ils sont loin des regards indiscrets.

Leurs cibles, les jeunes filles GPP RechercherGPP ou ‘’chair fraiche’’ qui à les en croire, sont les plus prisées actuellement par leurs clients qui ne sont autres que des commerçants ou hommes d’affaires Libanais domiciliés pour la plupart au Plateau RechercherPlateau.

Selon Tino dont les deux sœurs cadettes se trouvent dans son écurie, les hommes venus du Moyen-Orient après la guerre qui avait éclatée au Liban dans les années 70, lâchent facilement des liasses de billets pour ces gamines.

« Mon vieux père (votre serviteur), c’est une histoire de 100 000 Fcfa RechercherFcfa à somme x. Tout dépend de la satisfaction que donne la GPP RechercherGPP .On s’en fout de ce qui peut arriver, l’essentiel la petite prend pour elle et j’ai pour moi. C’est gagnant-gagnant quoi(…) », indique dans un français approximatif ce dernier entre deux gorgées de bières.

Mais notre attention sera plus grande mardi soir dans un quartier de la commune du maire, Gilbert Kafana Koné, réputé également pour les mœurs, quand une jeune fille nous signale être à la recherche de sa fille de 14 ans de la génération GPP RechercherGPP, disparue depuis le jeudi 27 février alors qu’elle avait rendez-vous avec son patron de brouteur.

Le brouteur en question est introuvable depuis lors. Et la jeune mère presqu’en larmes en face de nous, ne savait à quels saints se vouer.

Une camarade de sa fille aussi de la génération qui revenait d’une maladie après avoir été selon elle, sodomisée par deux libanais Rechercherlibanais, en début février refusa malgré les supplications de la mère en détresse, d’en dire plus sur la cachette de son amie. La jeune mère s’est alors résolue ce mercredi à avertir la police Rechercherpolice qui a fait arrêter l’amie de sa fille afin de remonter à la bande pour la retrouver.

Mais selon une autre fille la génération pressée-pressée, dans le contrat passé avec les brouteurs Rechercherbrouteurs aucune n’a le droit de révéler le lieu où elles viennent satisfaire la libido des libanais Rechercherlibanais quelque soit la pression qu’elles peuvent subir, de peur de se faire tuer par ces derniers.

Une fois de plus, la jeunesse ivoirienne s’illustre de la plus mauvaise des manières à la recherche du gain facile avec tous les risques que cela pourraient comporter. Tout ceci sous un silence coupable des parents, ONG et autorités qui n’attendent que le pire arrive, pour réagir et mener des actions répressives. En attendant le commerce du sexe bat son plein dans le pays.

Donatien Kautcha, koaci.com

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